mardi 23 juin 2009

Chronique Sur La Vie À Dubaï

Un petit plongeons dans notre quotidien pour vous faire voyager à Dubaï.



Cela fait déjà presque trois mois que nous sommes ici...nos pieds, nos yeux, notre peau et notre tête connaît de mieux en mieux le pays. Il nous reste maintes choses à connaître et à voir avant de revenir et il ce peut que notre vision change encore mais pour l'instant voici ce qui fait partie de nos vies.

Question bouffe: Attention de ne pas partir avec une recette bien déterminer en tête en allant à l'épicerie, l'aliment désirer qui était là la semaine dernière n'y sera peut-être plus. On ne peut jamais savoir ce qu'on va trouver et retrouver, c'est un peu comme la mode, ça change constamment. On peut se demander aussi si on n'aurait pas accès par hasard au fin de stock. Les marques et sorte de chips ne sont jamais les mêmes mais les dates d'échéance sont toujours sous peu.
Sinon pour ce qui est des prix c'est toujours surprenant de voir la marge entre les provenances ou les marques, un brocoli à 5$ ou 15$. La laitue est hors de prix. Il devrait peut-être utiliser l'eau qu'ils dépensent pour les plantes décoratives des bords d'autoroutes pour faire de l'hydroponique!
Et si ce soir on sort manger?!! À Dubaï, c'est international, ce que tu veux, ça se trouve quelques part. Toutefois en dehors de la métropole il y a les Cafétérias, les Cafétérias et les Cafétérias. Mmmm on hésite, avec leur menu identique et leur façade défraîchie et non-appétissante. Pourtant on n'est pas difficile mais il on vraiment pas le dont de rendre ça invitant. On fini toujours par choisir celui où il a le plus de locaux pour y manger un shawarma, communément appelé shishtaouk au Québec.



La place la plus hot où on a souper, Seafire dans l'Hotel Antlantis sur le Palm Jumeirah. (l'île en palmier).



Les Émiratis: Il est plutôt difficile de crée un contact avec eux, et nous croyons qu'il ne sont pas trop intéressé, on représente le vice, on est là pour leur apporté de l'argent. De plus, il ne sont pas avantagé à se marier à un expatrier car il perdrait des avantages fiscaux. L'argent de l'État étant distribuée entre les émiratis. C'est pourquoi il est impossible d'obtenir la citoyenneté et qu'il y a beaucoup de mariage entre cousin. La plupart ne travaille pas et pour ceux qui travaille ouf, il ne faut pas être pressé.
Le seul contact privilégier que nous avons est vraiment cocasse. On se fait inviter dans un party de maison mais on ne connaît pas l'adresse (inexistante ici) seulement l'emplacement. Au son, on se dirige vers une villa où on entre. Belle accueille "salut, prenez un bière dans la cuisine, have fun". Glacières débordantes de bières, lumières,dj. Seules choses qui cloche, les hommes sont en disdash(tunique blanche traditionnel) et on semble les seuls blancs. Après quelques minutes on c'est gentiment fait mettre à la porte!!! Notre party nous attendait trois porte plus loin! On aura eu le temps de consataté que les filles sous leurs Abaya(tunique noir traditionnelle) sont habillées sexy et que l'alcool coule à flot dans un pays où c'est prohibé.

En parallèle il y des mosquées qui s'érigent sans cesse, chaque jour les musalamans y cour(littéralement) pour prier. Un Québec des années 40.

Il y a le ramadan qui s'en vient en août...on va y goûter aussi. Imaginer vous que les expatriés se voient interdit de boire et manger en public durant cette période. Humm, à 45° c'est vraiment sécuritaire! Extrémistes? On apprends tranquillement que c'est particulier au UAE. À peine à une heure de route on se retrouve au Oman, où semble t-il les émiratis ne sont guère apprécier. Surnommé les pêcheurs de perles, pour exprimer qu'ils doivent leur prospérité à la chance et non au dure labeur. Simple jalousie? Nous ne croyons pas, dans nos quelques périple au Oman on a put remarquer à quel point les gens sont plus avenant et qu'ils...travaillent!

La route: On pourra dire qu'on aura eu la chance de conduire sur une autoroute à 6 voies, dans chaque direction, un jour. Ça développe les réflexes, les dépassements se font autant par la droite que par la gauche. Les routes secondaire sont généralement en construction et changent de trajet régulièrement. Sur la route les émiratis sont facile à reconnaître, leurs vitres sont teintées au max et ils flaches les lumières pour qu'on se tasse du chemin. C'est tout le contraire d'une ville piétonnière...malgré qu'on y voit pleins de mondes marcher sur le bord des autoroutes,ou les traverser en courant; Ce sont les chevreuils des UAE.
Les amis: On se rencontre, on se côtoie, on placote, cela reste des bonnes connaissances. On doit avouer que nos amis nous manque. On aimerait bien se lier d'amitié avec des gens qui parle anglais, question de s'améliorer mais on fini toujours par rencontrer des gens qui parle français partout où on va! Nos activités nous permettrons surement d'élargir notre cercle.


Les modes de Dubaï
:
Allez magasiner bien sur! Les gens se ramasse dans les centres d'achats, qui sont ouverts jusqu'à minuit, pour allez souper au resto le jeudi soir (notre vendredi). Attention, l'habit de sortie est de rigueur.

Hocher de la tête comme les bidules collé dans les voitures.

Ne jamais laisser les autres voitures passé... la courtoisie? ce mot ne doit pas exister ici.

Ne pas s'aimer en public.



Danser la salsa.

Porter un parapluie contre le soleil.

Faire partie d'un club de marche dans les centres d'achats.

Payer le loyer en un seul versement annuel

Sécurité: C'est probablement un des endroits les plus sécuritaire étant donné que les sanctions sont radicales. On te renvoie illico presto dans ton pays à la moindre bavure ou c'est la prison. Ce qui a de bien c'est qu'on sens la confiance entre les gens. L'exemple la plus explicite, on a vue deux mec remplir un guichet automatique,assis en indien par terre à compter les billets avec une petite machine. Sans fusil, sans stress avec pleins de monde qui passe à côté d'eux! Wow!

Les activités: On essais de pas trop se laisser abattre par la chaleur mais on doit attendre que le soleil se couche pour des activités plus physique. A part l'escalade, on vient de trouver une gang qui joue au ultimate frisbee, un peu de cardio ça fait du bien. Outils importants, serviette, boisson contenant des électrolytes et tee-shirt de rechange. Après quelques minutes on est détrempé et faut faire attention à la déshydratation.
Une partie de quilles pour ce sauver du soleil et une baignade dans la piscine refroidie, on s'en tire bien.
Nous avons trouvé une petite salle de spectacle underground pour des shows de danse et de musique ainsi qu'un site internet super qui nous guide dans tout genre d'activité.
La fin de semaine on sort souvent de la ville pour explorer les environs et voir autre chose que des buildings.


Deep Water Solo (Dibba)



Chemin sinueux de Mussandam

Voilà! on espère que cet aperçu vous aidera à vous faire une image des UAE et de notre vie ici.

jeudi 4 juin 2009

travailleurs de DubaÏ

Il y des choses à laquelle je m'habitue plus aisément et d'autres qui viennent sans cesse me chercher les tripes. Et ce, principalement au sujet de l'écart flagrant entre pauvre et riches, qui n'échappe pas à ce pays.

De voir des jeunes indiens travailler dans un stationnement couvert, à laver les voitures des gens partis magasiner, respirant cet air de 45°, saturé de gaz. Ça me fend le cœur, je suis à peine capable de supporter cet air le temps de me rendre à ma voiture. J'imagine leur poumons!

Avec un salaire moyen de 300$ par mois (loger, nourri), pour 12hrs de travaille par jours! Il n'y a aucun luxe accessible pour eux dans un pays où le coût de la vie est similaire au Québec.

Et sans parler du respect inexistant pour les moins nantis. En plus d'avoir une vie misérable on les traites en esclaves. Le taux de suicide semblerait très élevée parmi ces travailleurs malmenés.Pour les intéressés, il est facile de trouver maintes articles de cette réalité à Dubaï (et ailleurs) sur internet.
On a surement une différente vision du bonheur!

http://frankwuyts.be/dubai.jpg